Il y a quelques jours nous vous présentions une vidéo qui nous avait scotchés, il s’agissait de l’ascension et de la descente d’un sommet des Hautes Pyrénées. Du freeride à l’état pur.
Alexis Righetti a encore frappé, et cette fois c’est au pic du Crabère, en Ariège qu’il s’est attaqué et encore une fois les images sont à couper le souffle !
Voici son récit :
Avec Dimitri, mon compagnon de souffrance, nous avions pour habitude de faire à vélo des sommets des Alpes. Des sommets qui normalement, ne se font qu’à pied. Maintenant que j’habite près des Pyrénées, le challenge est bien plus important.
Par rapport aux Alpes, il y a 3 obstacles majeurs :
Le terrain pyrénéen est très complexe pour le vélo, souvent non-roulant… Certes, chacun possède ses propres critères de « non-roulabilité » ; j’en vois déjà qui rigolent lorsqu’on se plaint que ça ne passe pas…
Les parkings étant bas, souvent à moins de 1000 m, les dénivelées deviennent vite énormes. Cela ne poserait pas de problème si nous n’avions un VTT d’enduro sur le dos…
La météo est capricieuse. Bien plus que dans les Alpes. Et même si nous n’avons jamais été arrêtés par la pluie, le vent ou l’orage, c’est quelque peu frustrant d’arriver au sommet dans un brouillard total car ça a notamment pour conséquence de faire naître une désagréable question métaphysique : « mais qu’est-ce qu’on est venu foutre là-haut ?«
Après une préparation soigneuse et quelques reco fastidieuses, nous voilà donc partis pour l’ascension du Crabère, un grand sommet classique dans le secteur du Biros, entre les Hautes Pyrénées et l’Ariège. Deux jours seront nécessaires pour arriver en haut. Et nous avons prévu d’étendre la boucle sur une journée supplémentaire afin de rentrer par un itinéraire intéressant, une vallée plus loin.
La première journée est… comment dire ?… Avec sur le dos le vélo plus le sac énorme contenant le matériel de bivouac (30 kg au total), j’ai la sensation de plus en plus précise d’être un esclave sur le chantier de la Pyramide d’Egypte, il y a 5000 ans. Oui, ceux qui tirent les rochers. Mais on ne va pas se plaindre, on l’a cherché ! Et il n’y avait personne pour nous fouetter. Quoi qu’il en soit, nous étions en forme puisque nous avons avalé les 1300 m de dénivelée en moins de temps que celui indiqué sur les topos de rando classique.
Comme toujours, les problèmes sont venus de là où on ne les attendait pas. Alors que nous venions déjà de monter 1000 mètres, j’entends Dimitri qui s’exclame : « Non, c’est pas vrai ! Tu vas pas le croire ! » avec le même ton que le gars qui vient de louper la super cagnotte du loto à un numéro près.
Il venait de se rendre compte qu’une des deux vis de fixation de l’étrier du frein avant avait disparu. Envolée. Pourtant, nous n’avions pas donné un seul coup de pédale. Il venait d’acheter un Mondraker Dune RR tout neuf et nous constatons vite que la plupart des vis ne sont pas serrées. Ou du moins, juste à la main.
Inutile de préciser que cette foutue vis qui se trouve maintenant quelque part à bronzer sur le sentier est la plus indispensable sur un vélo d’enduro. Si nous ne trouvons pas de solution, nous serons obligés de redescendre : 3 jours fichus en l’air sur une semaine de ride. Et les 3 jours avec la fenêtre météo, évidemment !
Voilà que nous commençons à démonter complètement nos deux vélos au beau milieu de la montagne pour trouver une vis moins vitale ayant la bonne longueur et le bon pas. Des randonneurs sur la descente s’arrêtent, l’air intrigué ; nous leur demandons de crier le plus fort possible s’ils rencontrent une vis plus bas. Nous étions sur le point d’abandonner quand Dimitri trouve LA vis idoine : celle qui tient sa tige de selle ! Il remonte donc son frein tandis que je bricole un système permettant au tube de selle de tenir, en l’entourant de bandes d’élastoplaste qui viennent la maintenir en pression dans le tube du cadre. Maintenant, nous n’avons plus le droit de nous blesser, j’ai vidé la trousse de survie…
Depuis cette mésaventure, nous n’oublions jamais de mettre dans le sac tous les jeux de vis de remplacement nécessaires…
Le deuxième problème surgit le soir sous la forme d’un orage aussi soudain que violent alors que nous venons de planter la tente au-dessus du lac d’Araing. J’ai beau avoir fait beaucoup de montagne, je n’ai jamais essuyé une telle tempête. C’est bien simple, prenez la pluie d’orage la plus violente que vous puissiez imaginer. Maintenant, doublez son intensité. Et bien, cette pluie-là, elle nous est tombée dessus 4 heures d’affilée. Le bruit des gouttes sur la toile de tente était tellement fort que pour se parler, on devait se gueuler dans l’oreille, comme en boite de nuit. La foudre s’abattait tout autour de nous. J’ai éloigné les vélos pour que leur masse d’aluminium fasse potentiellement office de paratonnerre à une trentaine de mètres de la tente. Après quoi, nous avons passé des heures à attendre, blottis au fond du duvet, à espérer que :
aucun éclair ne s’abatte sur la tente
ce déluge biblique cesse, car l’eau commençait à s’infiltrer partout et nous savions pertinemment que nous ne tiendrions pas la nuit.
Heureusement, nous avions bien choisi l’emplacement : notre abri a tenu au vent, à la pluie et la foudre est tombée plusieurs fois juste à côté… mais pas sur nous ! Si nous n’avons aucune image de l’orage dans la vidéo, c’est qu’à ce moment, on se contentait de serrer les fesses en se demandant ce quel serait le résultat si on était forcés de replier le camp en pleine nuit dans la tourmente…
Le lendemain, un grand beau temps nous attend. Voilà qui est bienvenu : nous sommes encore mouillés de l’orage, l’intérieur de la tente commence à sentir le phoque lubrique et les divers équipements électroniques doivent sécher.
Après un café remotivant, nous enchaînons la montée finale sans grande difficulté et parvenons au sommet sous la lumière rasante du matin et sous l’œil de quelques aigles venus nous narguer. Quel spectacle !
Là-haut, nos vélos à la main, nous nous sentons l’âme de pionniers.
Nous sommes heureux d’être en compagnie de nos bêtes à deux roues. On a presque envie de leur parler, de les féliciter pour avoir monté sans problème et de les rassurer pour ce qu’on va bientôt leur mettre dans la gueule.
On contemple le paysage, on mange un bout de barre énergétique, on check les vélos, on refait l’arrivée au sommet pour la caméra, on laisse un bout de barre de céréale en évidence sur un rocher pour que les aigles aient la chance de découvrir les délices de la société de consommation, on enfile notre armure de combat… puis c’est parti !
Pour le fun, nous commençons par enchaîner une superbe arête très aérienne où la chute est strictement interdite. Le gaz, ça grise ! On adore ça, on va toujours le chercher. Si on voit une falaise, il faut qu’on aille rider au bord… Ce doit être un résidu de pulsion suicidaire post adolescente. Et on rejoint le singletrack de montée. Le vide est omniprésent, la pente sommitale doit être à 50°. La moitié des épingles passent en nose-turn engagé, 25% sont « faciles » et 25% ne passent que pour un pro du trial (en forme). Le problème, c’est qu’on n’est pas des pros du trial… Aller jumper des bancs et des rampes d’escaliers, c’est pas notre truc.
Par contre, les portions entre épingles sont relativement aisées à enchaîner, sous réserve que vous n’ayez pas peur du vide qui vous aspire, ce qui a alors pour conséquence de vous déséquilibrer du côté sécurisant. Dur de lutter contre les réflexes de survie !
Une fois de retour à la tente, nous nous sentons tellement bien que nous tentons l’ascension d’un deuxième sommet, le Pic de l’Har. Bien mal nous a pris : la moitié de la montée (et de la descente) s’avère très galère : sentiers déversants, rochers infranchissables tous les 10 mètres, ainsi qu’une portion obligatoire de dalles schisteuses très raides qui constitue un vrai piège en cas d’orage, une fois mouillée. On ne gagne pas à tous les coups…
Nous revenons à la tente et remballons tout le matériel. Depuis le Col de Bentaillou, nous enchaînons le GR jusqu’au fond de la vallée. La difficulté ne réside alors plus dans la technicité du sentier mais dans l’art de maitriser son équilibre avec un sac de 15 kg sur le dos. C’est un peu comme si à l’heure du repas, vous disposiez d’une bêche et d’un râteau au lieu de vos couverts habituels.
Une fois habitués au poids du sac, cela devient un pur bonheur. Les terrains sont extrêmement variés. Que préférez-vous ? larges rochers arrondis ? herbe glissante ? single fun ? sentier bien tracé à flanc de falaise ? trip trial urbain dans des ruines de bâtiments miniers ?
Le lendemain, nous passons dans la vallée voisine pour terminer par un classique : la Voie Decauville, dont l’intérêt réside dans les trois tunnels de mine qu’on est obligé d’emprunter. Après être passé sur la montagne, nous passons dessous. Difficile de faire plus esthétique !
Les tunnels sont vraiment roulables en vélo pour peu qu’on se courbe, et ces épisodes sont largement plus funs qu’inquiétants.
Au final, nous avons enchaîné 3000 mètres de dénivelée et probablement dépucelé à vélo un certain nombre de lignes. Quoique le gardien du refuge d’Araing nous a révélé que le Pic de Crabère avait été fait une fois à vélo quelques années avant nous… Ce n’est pas grave, nous trouverons d’autres sommets !
La 20ème édition de la grande classique Cap Nore se tiendra à Villegly, dans l’Aude, le weekend des 18 et 19 juin 2016. Labellisée « Randos d’Or« , Cap Nore est la plus importante randonnée VTT du Languedoc-Roussillon. Une véritable institution, organisée de main de maître par l’Atac. et rendue possible par des dizaines de bénévoles. Au …
Lorsque les soucis prennent le dessus dans le quotidien, une bonne session de ride permet d’apprécier le présent et de reconnecter avec des choses simples mais essentielles. Rider : Jon Bokrantz Film : Jimmy Svensson Musique : Anne Nyboe
Embarquez pour une incroyable session de ride interactive aux côtés de Matt Hunter, Andrew Shandro et Thomas Vanderham. La Shimano XTR 360 Experience vous permet de naviguer d’une caméra (embarquée, hélico, statique…) à une autre en temps réel pour suivre les pilotes ! Le film sans l’interaction :
Le pic du Crabère à VTT – Ariège Pyrénées
Il y a quelques jours nous vous présentions une vidéo qui nous avait scotchés, il s’agissait de l’ascension et de la descente d’un sommet des Hautes Pyrénées. Du freeride à l’état pur.
Alexis Righetti a encore frappé, et cette fois c’est au pic du Crabère, en Ariège qu’il s’est attaqué et encore une fois les images sont à couper le souffle !
Voici son récit :
Avec Dimitri, mon compagnon de souffrance, nous avions pour habitude de faire à vélo des sommets des Alpes. Des sommets qui normalement, ne se font qu’à pied. Maintenant que j’habite près des Pyrénées, le challenge est bien plus important.
Par rapport aux Alpes, il y a 3 obstacles majeurs :
Après une préparation soigneuse et quelques reco fastidieuses, nous voilà donc partis pour l’ascension du Crabère, un grand sommet classique dans le secteur du Biros, entre les Hautes Pyrénées et l’Ariège. Deux jours seront nécessaires pour arriver en haut. Et nous avons prévu d’étendre la boucle sur une journée supplémentaire afin de rentrer par un itinéraire intéressant, une vallée plus loin.
La première journée est… comment dire ?… Avec sur le dos le vélo plus le sac énorme contenant le matériel de bivouac (30 kg au total), j’ai la sensation de plus en plus précise d’être un esclave sur le chantier de la Pyramide d’Egypte, il y a 5000 ans. Oui, ceux qui tirent les rochers. Mais on ne va pas se plaindre, on l’a cherché ! Et il n’y avait personne pour nous fouetter. Quoi qu’il en soit, nous étions en forme puisque nous avons avalé les 1300 m de dénivelée en moins de temps que celui indiqué sur les topos de rando classique.
Comme toujours, les problèmes sont venus de là où on ne les attendait pas. Alors que nous venions déjà de monter 1000 mètres, j’entends Dimitri qui s’exclame : « Non, c’est pas vrai ! Tu vas pas le croire ! » avec le même ton que le gars qui vient de louper la super cagnotte du loto à un numéro près.
Il venait de se rendre compte qu’une des deux vis de fixation de l’étrier du frein avant avait disparu. Envolée. Pourtant, nous n’avions pas donné un seul coup de pédale. Il venait d’acheter un Mondraker Dune RR tout neuf et nous constatons vite que la plupart des vis ne sont pas serrées. Ou du moins, juste à la main.
Inutile de préciser que cette foutue vis qui se trouve maintenant quelque part à bronzer sur le sentier est la plus indispensable sur un vélo d’enduro. Si nous ne trouvons pas de solution, nous serons obligés de redescendre : 3 jours fichus en l’air sur une semaine de ride. Et les 3 jours avec la fenêtre météo, évidemment !
Voilà que nous commençons à démonter complètement nos deux vélos au beau milieu de la montagne pour trouver une vis moins vitale ayant la bonne longueur et le bon pas. Des randonneurs sur la descente s’arrêtent, l’air intrigué ; nous leur demandons de crier le plus fort possible s’ils rencontrent une vis plus bas. Nous étions sur le point d’abandonner quand Dimitri trouve LA vis idoine : celle qui tient sa tige de selle ! Il remonte donc son frein tandis que je bricole un système permettant au tube de selle de tenir, en l’entourant de bandes d’élastoplaste qui viennent la maintenir en pression dans le tube du cadre. Maintenant, nous n’avons plus le droit de nous blesser, j’ai vidé la trousse de survie…
Le deuxième problème surgit le soir sous la forme d’un orage aussi soudain que violent alors que nous venons de planter la tente au-dessus du lac d’Araing. J’ai beau avoir fait beaucoup de montagne, je n’ai jamais essuyé une telle tempête. C’est bien simple, prenez la pluie d’orage la plus violente que vous puissiez imaginer. Maintenant, doublez son intensité. Et bien, cette pluie-là, elle nous est tombée dessus 4 heures d’affilée. Le bruit des gouttes sur la toile de tente était tellement fort que pour se parler, on devait se gueuler dans l’oreille, comme en boite de nuit. La foudre s’abattait tout autour de nous. J’ai éloigné les vélos pour que leur masse d’aluminium fasse potentiellement office de paratonnerre à une trentaine de mètres de la tente. Après quoi, nous avons passé des heures à attendre, blottis au fond du duvet, à espérer que :
Heureusement, nous avions bien choisi l’emplacement : notre abri a tenu au vent, à la pluie et la foudre est tombée plusieurs fois juste à côté… mais pas sur nous ! Si nous n’avons aucune image de l’orage dans la vidéo, c’est qu’à ce moment, on se contentait de serrer les fesses en se demandant ce quel serait le résultat si on était forcés de replier le camp en pleine nuit dans la tourmente…
Le lendemain, un grand beau temps nous attend. Voilà qui est bienvenu : nous sommes encore mouillés de l’orage, l’intérieur de la tente commence à sentir le phoque lubrique et les divers équipements électroniques doivent sécher.
Après un café remotivant, nous enchaînons la montée finale sans grande difficulté et parvenons au sommet sous la lumière rasante du matin et sous l’œil de quelques aigles venus nous narguer. Quel spectacle !
Nous sommes heureux d’être en compagnie de nos bêtes à deux roues. On a presque envie de leur parler, de les féliciter pour avoir monté sans problème et de les rassurer pour ce qu’on va bientôt leur mettre dans la gueule.
On contemple le paysage, on mange un bout de barre énergétique, on check les vélos, on refait l’arrivée au sommet pour la caméra, on laisse un bout de barre de céréale en évidence sur un rocher pour que les aigles aient la chance de découvrir les délices de la société de consommation, on enfile notre armure de combat… puis c’est parti !
Pour le fun, nous commençons par enchaîner une superbe arête très aérienne où la chute est strictement interdite. Le gaz, ça grise ! On adore ça, on va toujours le chercher. Si on voit une falaise, il faut qu’on aille rider au bord… Ce doit être un résidu de pulsion suicidaire post adolescente. Et on rejoint le singletrack de montée. Le vide est omniprésent, la pente sommitale doit être à 50°. La moitié des épingles passent en nose-turn engagé, 25% sont « faciles » et 25% ne passent que pour un pro du trial (en forme). Le problème, c’est qu’on n’est pas des pros du trial… Aller jumper des bancs et des rampes d’escaliers, c’est pas notre truc.
Par contre, les portions entre épingles sont relativement aisées à enchaîner, sous réserve que vous n’ayez pas peur du vide qui vous aspire, ce qui a alors pour conséquence de vous déséquilibrer du côté sécurisant. Dur de lutter contre les réflexes de survie !
Une fois de retour à la tente, nous nous sentons tellement bien que nous tentons l’ascension d’un deuxième sommet, le Pic de l’Har. Bien mal nous a pris : la moitié de la montée (et de la descente) s’avère très galère : sentiers déversants, rochers infranchissables tous les 10 mètres, ainsi qu’une portion obligatoire de dalles schisteuses très raides qui constitue un vrai piège en cas d’orage, une fois mouillée. On ne gagne pas à tous les coups…
Nous revenons à la tente et remballons tout le matériel. Depuis le Col de Bentaillou, nous enchaînons le GR jusqu’au fond de la vallée. La difficulté ne réside alors plus dans la technicité du sentier mais dans l’art de maitriser son équilibre avec un sac de 15 kg sur le dos. C’est un peu comme si à l’heure du repas, vous disposiez d’une bêche et d’un râteau au lieu de vos couverts habituels.
Une fois habitués au poids du sac, cela devient un pur bonheur. Les terrains sont extrêmement variés. Que préférez-vous ? larges rochers arrondis ? herbe glissante ? single fun ? sentier bien tracé à flanc de falaise ? trip trial urbain dans des ruines de bâtiments miniers ?
Le lendemain, nous passons dans la vallée voisine pour terminer par un classique : la Voie Decauville, dont l’intérêt réside dans les trois tunnels de mine qu’on est obligé d’emprunter. Après être passé sur la montagne, nous passons dessous. Difficile de faire plus esthétique !
Au final, nous avons enchaîné 3000 mètres de dénivelée et probablement dépucelé à vélo un certain nombre de lignes. Quoique le gardien du refuge d’Araing nous a révélé que le Pic de Crabère avait été fait une fois à vélo quelques années avant nous… Ce n’est pas grave, nous trouverons d’autres sommets !
La trace GPS du parcours :
Retrouvez toutes les vidéos d’Alexis sur sa chaîne YouTube.
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Et pendant ce temps là du coté de Squamish la neige semble au rendez-vous ! Credits – Ljurko Racing